Pourquoi demander un deuxième avis pour une disjonction acromio-claviculaire de stade III ?
Un
deuxième avis est tout à fait pertinent dans le cadre d’une
disjonction acromio-claviculaire. S’il s’agit souvent d’une pathologie bénigne, les stades plus avancés nécessitent particulièrement une chirurgie. Dans ce cadre, il n’existe pas de technique de référence. De plus, des
séquelles subsistent parfois, comme une
arthrose acromio-claviculaire à long terme (douleur à l’articulation à cause d’une usure anormale du cartilage), mais les résultats sont généralement satisfaisants. Comme toute chirurgie, il existe des risques génériques comme une
algodystrophie du membre supérieur. Un
deuxième avis est tout à fait indiqué car il permet d’apporter un
éclairage supplémentaire en cas de situation complexe, ainsi que pour adapter l’activité sportive du patient si elle est la cause de la pathologie.
Quelles sont les questions les plus fréquemment posées ?
- Quel est le stade de ma disjonction acromio-articulaire ?
- Combien de ligaments sont touchés ?
- Existe-t-il d’autres lésions au voisinage comme une fracture ?
- Les douleurs vont-elles augmenter si je ne fais rien ?
- Le traitement que l’on m’a prescrit ne soulage pas mes douleurs. Quelles sont les autres options possibles ?
- On me propose une chirurgie. Quelles en sont les modalités ? Vais-je avoir mal ? Quand pourrais-je reprendre le sport ? Devrais-je être immobilisé(e) ? Est-ce que l’articulation sera aussi stable qu’avant ?
- On m’a prescrit une rééducation avec un kinésithérapeute après mon intervention chirurgicale. En quoi consiste-t-elle ?
Mais aussi toutes les autres questions spécifiques que vous vous posez.