L’histoire d’Anne, 61 ans, atteinte d’une hyperparathyroïdie
Anne* âgée de 61 ans se trouvait confrontée à une nouvelle série de défis de santé qui semaient le doute dans son esprit. Ayant été opérée pour une hyperparathyroïdie droite en 2020, elle avait espéré que cette intervention mettrait fin à ses soucis de santé. Cependant, les symptômes persistaient, ravivant ses inquiétudes quant à son état et à la nécessité d'une nouvelle intervention chirurgicale.
La recherche d’un deuxième avis
Dans sa quête de clarté et de conseils médicaux avisés, Anne décida de solliciter un deuxième avis auprès d'un médecin interniste. Elle exprima ses préoccupations quant à son diagnostic d'hyperparathyroïdie et se demanda si une opération supplémentaire était recommandée. Son questionnement principal portait également sur la possibilité d'administrer un médicament pour réguler son taux de calcium.
Le médecin, après avoir examiné attentivement son dossier médical complet, procéda à un état des lieux précis de la situation d'Anne. Il constata la persistance d'un tableau évocateur d'hyperparathyroïdie malgré l'intervention chirurgicale précédente. Pour éclaircir la situation, il recommanda la réalisation d'une nouvelle échographie cervicale antérieure, suivie d'une scintigraphie au SESTA MIBI, ainsi que de nouveaux dosages de calcium, de phosphore, d'albumine, de PTH (parathormone) et de vitamine D.
Dans ses explications, le médecin spécialiste souligna la nécessité de différencier les glandes thyroïdiennes des glandes parathyroïdiennes, responsables de la régulation du calcium sanguin. Il expliqua que le problème d'Anne semblait être lié à une hypercalcémie très probablement due à une hyperparathyroïdie. Il précisa que le traitement recommandé dans ce cas était chirurgical, consistant à trouver la glande parathyroïdienne dysfonctionnelle, puis à l'opérer par un abord direct.
Cependant, le médecin spécialiste nota que si la glande thyroïde d'Anne ne semblait pas pathologique, il n'y avait pas de nécessité à l'enlever lors de l'intervention chirurgicale. Il ajouta cependant que les décisions prises par le chirurgien pourraient varier en fonction des circonstances et des constatations intra-opératoires.
Anne, bien que confrontée à une nouvelle série de défis de santé, se sentit rassurée par l'évaluation approfondie de son cas par le médecin spécialiste. Elle prit note des recommandations et des prochaines étapes à suivre, reconnaissant l'importance de la communication ouverte avec son équipe médicale.
Sa détermination à comprendre son état et à trouver des solutions adaptées témoignait de sa résilience face aux épreuves de santé.
Nous souhaitons à Anne bon courage pour la suite de son parcours de soins.
Vous vous posez aussi des questions sur votre traitement ? Un deuxième avis médical peut vous être utile. N’hésitez pas à en parler à votre médecin !
*Pour des raisons de confidentialité et de protection de la vie privée, le nom des personnes a été changé.
Publication le 03/06/2024 par Mathilde Miloudi Prey
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