L'histoire de Marianne, 53 ans, souffrant d'une fracture de l'épaule

Deux mois après sa fracture de l'épaule, Marianne souffre toujours intensément. Inquiète quant au choix du traitement qui a été fait, un deuxième avis médical va l'aider à y voir plus clair sur sa situation.

Des douleurs persistantes après la consolidation d'une fracture de l'épaule

C'est lors d'une randonnée que Marianne chute et se fracture l'épaule gauche. Il s'agit d'une fracture déplacée de l'extrémité supérieure de l'humérus, l'os du haut du bras qui s'articule avec l'omoplate. Le chirurgien orthopédiste qui la prend en charge choisi de ne pas intervenir chirurgicalement mais propose l'immobilisation de son épaule pendant 6 semaines. 

Aujourd'hui, la fracture a consolidé, c'est-à-dire que les morceaux d'os se sont ressoudés entre eux. Pourtant, des douleurs persistent et Marianne se sent limitée dans la rotation de son épaule. Elle ne peut presque plus s'appuyer sur son bras tant les douleurs sont intenses, ce qui impacte fortement sa qualité de vie. Lors de sa dernière consultation, le chirurgien de Marianne suggère de poursuivre la rééducation par la kinésithérapie et d'essayer la technique des ultrasons. Les vibrations vont agir en profondeur sur les tissus lésés. Mais la kinésithérapeute de Marianne refuse de pratiquer les ultrasons pour le moment, elle souhaite attendre au moins 6 mois après la fracture.

La patiente se sent démunie face aux douleurs et à la raideur de son épaule, elle s'inquiète de savoir si le traitement proposé par son équipe médicale va lui permettre de se sentir mieux et de retrouver sa mobilité. Afin d'obtenir un autre avis médical sur sa situation, elle décide de solliciter les services de deuxiemeavis.fr. 

Un deuxième avis confirmant le traitement proposé

L'expert de deuxiemeavis.fr est un chirurgien orthopédiste hautement qualifié. Il confirme le diagnostic de fracture déplacée à 2 fragments au niveau de la partie supérieure de l'humérus. Il explique qu'elle semble consolidée sur les images mais avec la présence d'un cal vicieux : une consolidation des os dans une position anormale. Cela arrive très souvent et n'est pas forcément grave. Cependant, dans certains cas, il est nécessaire de pratiquer une intervention chirurgicale pour rétablir une position normale. 

Pour le médecin-expert le traitement proposé à Marianne est logique. Il explique qu'il est nécessaire de poursuivre la kinésithérapie et il ne voit pas de contre-indications à démarrer le traitement par ultrasons. La rééducation doit être poursuivie pendant 6 à 12 mois avant de pouvoir faire le constat de séquelles résiduelles. L'expert indique à Marianne qu'il a l'habitude de voir de très bons résultats sur ce type de fracture non opérées et immobilisées. La plupart des personnes récupèrent leurs amplitudes de mouvement et les douleurs finissent par disparaitre. 

Pour autant, si aucune amélioration n'est constatée pour Marianne dans les 6 mois, l'expert estime qu'il sera logique de rediscuter de l'éventualité d'une chirurgie. 

Marianne est très satisfaite de l'avis du médecin-expert qu'elle a trouvé très détaillé et grâce auquel elle a mieux compris sa situation. Cela a permis de lever les doutes qu'elle avait quant aux décisions de son chirurgien. Elle se sent désormais rassurée et motivée à poursuivre sa rééducation. 

Nous souhaitons bon courage à Marianne pour la suite de son parcours de soins.

Vous vous posez aussi des questions sur votre traitement ? Un deuxième avis médical peut vous être utile. N’hésitez pas à en parler à votre médecin !

*Pour des raisons de confidentialité et de protection de la vie privée, le nom des personnes a été changé.