L'histoire de Sarah et Arthur, 23 et 25 ans, souhaitant devenir parents

Cela fait 4 ans que Sarah* et Arthur* essayent d’avoir un bébé. Après de nombreux examens, les médecins ont conclu à une infertilité du couple. Afin d’obtenir l’avis et les conseils d’un expert sur leur situation, Sarah et Arthur ont décidé de faire appel à deuxiemeavis.fr. 

La recherche de l’origine de l’infertilité dans le couple 

Malgré des rapports non protégés depuis plus de quatre ans, Sarah n’est jamais tombée enceinte, ce qui est source d’une grande souffrance dans le couple. Avec son conjoint, ils ont donc décidé de consulter afin de comprendre la raison de leur infertilité. 

Grâce à la réalisation d’un spermogramme, un examen d’analyse des caractéristiques du sperme, on diagnostique chez Arthur une oligoasthénotératospermie (OATS) sévère. L’oligoasthénotératospermie regroupe plusieurs anomalies du sperme : les spermatozoïdes sont en nombre insuffisant (oligospermie), ont une faible mobilité (asthénospermie) et présentent des anomalies de forme (tératospermie). Cela ne signifie pas pour autant qu’il n’y a aucun spermatozoïde viable. 

Pour Sarah, c’est un syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) qui est diagnostiqué. Le SOPK est une affection hormonale très fréquente chez la femme en âge de procréer. L’irrégularité des cycles est caractéristique de cette maladie, mais c’est bien souvent l’infertilité due à un déséquilibre hormonal (augmentation de la sécrétion de testostérone) qui pousse les patientes à consulter. 

Le bilan hormonal réalisé par Sarah montre également une élévation anormale d’une hormone hypophysaire : la TSH. Son médecin lui prescrit donc un traitement pour réguler son taux de TSH, car cette hormone a une action directe sur la thyroïde, une glande qui sécrète des hormones qui agissent notamment l’humeur, le poids, la digestion, le rythme cardiaque. 

Une fois le traitement bien adapté, Sarah et son conjoint pourront bénéficier d’une fécondation in vitro (FIV).

La situation est très inquiétante pour le couple qui découvre qu’ils souffrent chacun d’une pathologie et que leur désir d’enfant est conditionné à la réussite d’une FIV. Sarah qui a entendu parler des services de deuxiemeavis.fr par un ami décide d’y recourir et c’est en 24 heures qu’elle reçoit l’avis d’un expert sur leur situation. 

Un deuxième avis rassurant et encourageant

C’est un professeur en gynécologie et obstétrique qui a analysé le dossier médical de Sarah et Arthur. Pour lui, il n’y a pas de doute concernant son conjoint, il souffre effectivement d’une oligoasthénotératospermie sévère. Il conseille d’ailleurs à Arthur de compléter les explorations avec des examens génétiques et des dosages hormonaux et de tenter un sevrage tabagique, en effet le tabac peut être un facteur de risque concernant l’infertilité masculine. 

En ce qui concerne Sarah, pour l’expert, elle ne souffre pas du SOPK, car elle n’en a pas les signes. Elle n’a ni cycles irréguliers, ni augmentation des hormones masculines (testostérone). 

Il lui explique que ses ovaires sont sans doute multifolliculaires, ils produisent des follicules en trop grande quantité, mais que cela est à considérer comme normal au vu de son jeune âge, donc il n’y a pas d’inquiétude à avoir de ce côté. 

Le médecin expert conseille à Sarah d’essayer de perdre un peu de poids et une fois que son taux de TSH sera abaissé, ils pourront démarrer le processus de fécondation in vitro. 

Par ailleurs, l’expert fait remarquer à Sarah qu’elle n’est pas protégée contre la rubéole, il lui recommande fortement de se faire vacciner avant la grossesse, car c’est une maladie qui peut être très dangereuse pour le fœtus.  

Sarah et Arthur sont très satisfaits par l’avis rendu par le médecin expert. Ils sont rassurés et abordent de façon plus sereine la future FIV. 

Nous leur souhaitons bon courage pour la suite de leur parcours de soins. 

Vous vous posez aussi des questions sur votre traitement ? Un deuxième avis médical peut vous être utile. N’hésitez pas à en parler à votre médecin !

*Pour des raisons de confidentialité et de protection de la vie privée, le nom des personnes a été changé.

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