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Témoignages
L’histoire de Catherine, 60 ans, très inquiète de l’évolution possible de ses nodules pulmonaires
Il y a 6 ans, Catherine* avait beaucoup de glaires sans autre symptôme particulier, ni fièvre, ni douleur, ni fatigue excessive. Pour essayer d’en trouver la cause, elle a passé un scanner thoraco-abdomino-pelvien qui a révélé plusieurs nodules dans son poumon gauche.
Pendant quatre années, la surveillance n’a rien révélé d’inquiétant. Cependant, il y a deux ans, le scanner de contrôle a établi qu’un nodule situé dans le lobe supérieur de son poumon gauche avait fortement grossi.
Le médecin de Catherine a présenté son dossier médical à une équipe pluridisciplinaire qui a conclu à la nécessité d’exérèse par wedge (technique qui enlève le moins de quantité de poumon). Ainsi, Catherine a subi une thoracoscopie (chirurgie mini invasive du thorax faites par plusieurs petites incisions à l’aide d’instruments longs et fins qui ne laissent pas de trace) pour pouvoir analyser le nodule suspect. La biologie moléculaire et le compte-rendu de l'examen d'anatomopathologie (analyse au microscope des tissus prélevés) ont conclu à un adénocarcinome à invasion minime (MIA) avec prédominance lépidique.
Toutefois, le médecin indique à Catherine qu’elle n’a pas besoin de suivre un traitement médicamenteux ou une chimiothérapie.
Catherine reste particulièrement inquiète car sa mère est décédée d’un cancer du poumon. Elle se pose plusieurs questions : il y a-t-il un risque de métastases ? L’évolution peut-elle être rapide ? Que faire des autres nodules présents dans son poumon ? Peut-elle suivre un traitement pour limiter le risque de récidive ?
Elle s’est donc tournée vers deuxiemeavis.fr qu’elle a découvert sur internet, afin d’être éclairée sur l’évolution possible de son cancer.
Après avoir étudié son dossier médical, le médecin expert lui a expliqué qu’elle avait une tumeur de bas grade (les moins agressives) avec une évolution très lente et d'excellent pronostic.
Il lui a confirmé qu’il n'y a pas lieu d'effectuer une chimiothérapie car la tumeur ne comporte pas de caractère péjoratif.
Par ailleurs, le médecin lui explique qu’il n’est pas possible de poser un diagnostic définitif sur ses autres nodules pulmonaires uniquement en étudiant les images du scanner. Néanmoins, son antécédent de cancer ne laisse pas présager que ses autres nodules sont cancéreux. Ainsi, ce n’est que si les lésions apparaissent suspectes, notamment par leur évolution, qu’un traitement sera envisagé. Dans ce cas, le traitement chirurgical (exérèse chirurgicale) sera plus efficace et mieux toléré qu'un traitement anti-cancéreux.
Dès lors, le médecin expert confirme l'absence d'indication de traitement préventif.
Catherine est très satisfaite de son deuxième avis qui confirme ce qu’elle avait cru comprendre lors de son premier diagnostic. Grâce à la réponse argumentée qu’elle a reçu, Catherine comprend mieux sa maladie ce qui lui permet d’être plus sereine.
Nous souhaitons à Catherine bon courage pour la suite de son parcours !
Vous vous posez aussi des questions sur votre traitement ? Un deuxième avis médical peut vous être utile. N’hésitez pas à en parler à votre médecin !
*Pour des raisons de confidentialité et de protection de la vie privée, le nom des personnes a été changé.
Le diagnostic de l’adénocarcinome à invasion minime (MIA)
Un nodule pulmonaire est une lésion, plus ou moins arrondie, de moins de 3 cm de diamètre entourée de tissu pulmonaire sain. Pour suivre l’évolution de ses nodules, en taille, en densité, si leurs contours ou leurs localisations se modifiaient, il a été demandé à Catherine de passer un scanner tous les ans.Pendant quatre années, la surveillance n’a rien révélé d’inquiétant. Cependant, il y a deux ans, le scanner de contrôle a établi qu’un nodule situé dans le lobe supérieur de son poumon gauche avait fortement grossi.
Le médecin de Catherine a présenté son dossier médical à une équipe pluridisciplinaire qui a conclu à la nécessité d’exérèse par wedge (technique qui enlève le moins de quantité de poumon). Ainsi, Catherine a subi une thoracoscopie (chirurgie mini invasive du thorax faites par plusieurs petites incisions à l’aide d’instruments longs et fins qui ne laissent pas de trace) pour pouvoir analyser le nodule suspect. La biologie moléculaire et le compte-rendu de l'examen d'anatomopathologie (analyse au microscope des tissus prélevés) ont conclu à un adénocarcinome à invasion minime (MIA) avec prédominance lépidique.
Toutefois, le médecin indique à Catherine qu’elle n’a pas besoin de suivre un traitement médicamenteux ou une chimiothérapie.
Catherine reste particulièrement inquiète car sa mère est décédée d’un cancer du poumon. Elle se pose plusieurs questions : il y a-t-il un risque de métastases ? L’évolution peut-elle être rapide ? Que faire des autres nodules présents dans son poumon ? Peut-elle suivre un traitement pour limiter le risque de récidive ?
Elle s’est donc tournée vers deuxiemeavis.fr qu’elle a découvert sur internet, afin d’être éclairée sur l’évolution possible de son cancer.
Un deuxième avis rassurant pour Catherine
Catherine remplit sur la plateforme un questionnaire médical spécifique et sélectionne un médecin expert parmi ceux référencés pour sa maladie.Après avoir étudié son dossier médical, le médecin expert lui a expliqué qu’elle avait une tumeur de bas grade (les moins agressives) avec une évolution très lente et d'excellent pronostic.
Il lui a confirmé qu’il n'y a pas lieu d'effectuer une chimiothérapie car la tumeur ne comporte pas de caractère péjoratif.
Par ailleurs, le médecin lui explique qu’il n’est pas possible de poser un diagnostic définitif sur ses autres nodules pulmonaires uniquement en étudiant les images du scanner. Néanmoins, son antécédent de cancer ne laisse pas présager que ses autres nodules sont cancéreux. Ainsi, ce n’est que si les lésions apparaissent suspectes, notamment par leur évolution, qu’un traitement sera envisagé. Dans ce cas, le traitement chirurgical (exérèse chirurgicale) sera plus efficace et mieux toléré qu'un traitement anti-cancéreux.
Dès lors, le médecin expert confirme l'absence d'indication de traitement préventif.
Catherine est très satisfaite de son deuxième avis qui confirme ce qu’elle avait cru comprendre lors de son premier diagnostic. Grâce à la réponse argumentée qu’elle a reçu, Catherine comprend mieux sa maladie ce qui lui permet d’être plus sereine.
Nous souhaitons à Catherine bon courage pour la suite de son parcours !
Vous vous posez aussi des questions sur votre traitement ? Un deuxième avis médical peut vous être utile. N’hésitez pas à en parler à votre médecin !
*Pour des raisons de confidentialité et de protection de la vie privée, le nom des personnes a été changé.
Publication le 14/02/2020 par Philippine Picault
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